Des paysages à la peau : la promesse d’un été éternel
Je suis né et j’ai grandi à Marseille, cette ville solaire, brute et vibrante, où la Méditerranée est à la fois un décor quotidien et une source d’énergie. C’est entre les rochers de Cassis, les balades en bateau dans les calanques, les baignades du soir à Malmousque, et les couchers de soleil sur les plages du Prado, qu’est née ma sensibilité pour l’esthétique du Sud. Une esthétique faite de couleurs franches, d’eau salée, de rires d’été, de musique en terrasse, et d’instants suspendus.
Mais c’est en traversant la côte amalfitaine avec ma femme et mes enfants que j’ai compris que cette ambiance méditerranéenne, que je pensais propre à Marseille, vibrait aussi ailleurs. À Sorrento, à Positano, à Capri, j’ai retrouvé cette même joie simple, ce même art de vivre, ce même appel à la lenteur et à la beauté. L’Italie m’a renvoyé à Marseille comme un miroir : le citron de Sorrento répondait au pastis marseillais, les barques de pêche napolitaines faisaient écho aux pointus du Vieux-Port, et les falaises de la côte amalfitaine m’ont rappelé les calanques de Morgiou.
C’est entre ces deux rives de la Méditerranée qu’est née MARÉA.
Une marque de shorts de bain dessinée comme un pont entre Marseille et l’Italie, une carte postale textile cousue de souvenirs, d’escales, d’odeurs de citron et de sel. Avec ses shorts turquoise, ses imprimés d’agrumes (citron, orange), ses matières légères, MARÉA capture ce que l’on ressent en été mais qu’on n’arrive jamais à décrire : la liberté du Sud, celle qui unit les peuples par la mer, par le soleil et par le style.





